Observia, une aventure humaine qui continue, en France…et à l’international !

Observia, une aventure humaine qui continue, en France…et à l’international !

Depuis 2013, notre jeune start-up Observia a bien grandi. Plus de 10 personnes ont rejoint l’équipe, un bureau en Grande Bretagne s’est ouvert en 2016, un autre sera prochainement établi en Allemagne et notre offre de services s’est enrichie.

Fidèle à sa vocation d’améliorer la vie des patients et de favoriser l’efficience des actions des professionnels de santé, Observia a développé de nouvelles solutions e-santé : la plateforme d’entretiens pharmaceutiques, aujourd’hui utilisée dans 3 000 pharmacies d’officine, la plateforme d’éducation thérapeutique du patient, utilisée à l’hôpital Léopold Bellan, la plateforme de conciliation médicamenteuse autour du lien ville-hôpital, actuellement en cours de développement…

Chaque nouveau projet est conçu et développé en collaboration étroite avec patients et professionnels de santé et intègre des algorithmes de profiling permettant de personnaliser chaque service aux besoins des utilisateurs.

Enfin, autour de ces savoir-faire, Observia propose aujourd’hui à ses clients (associations de patients, établissements de santé, industriels) du conseil, des outils analytiques pour mieux mesurer l’observance et de réaliser pour leur compte des études sur l’impact des outils e-santé sur le comportement des patients.

Facebook Observia www.observia-group.com

France Barter se développe

France Barter a bouclée une levée de fonds en crowlending sur la plateforme WISEED auprès de 195 prêteurs/investisseurs pour 200K euros de titres participatifs (forme d’obligation sur 7ans propres aux structure coopératives)
Cette levée de fond adossée à une financement BPI du même montant a pour vocation de supporter un plan de recrutement sur l’équipe commerciale, un analyste crédit et de déployer nos franchises en région.
Ouverture de Barter Bretagne d’ici la fin de l’année 2016 et d’autres ouvertures sont à prévoir en 2017
Lancement de notre V2 de la plateforme en Automne 2016 avec toujours plus de secteurs d’activité référencés sur la marketplace d’échanges (matériel informatique, transport, solutions clouds, profession libérales….)
Egalement en lancement un site de Barter pour les pôles de compétitivité de Rhônes Alpes appelée Barter Cluster afin de proposer cet outil de mutualisation aux industriels avec France Clusters.
Une seconde marque blanche en cours de déploiement pour le monde agricole.

Que s’est-il passé pour TOOFRUIT depuis 2013?

Témoignage :

Au début de l’aventure TOOFRUIT, nous avons créé 5 produits pour le visage des enfants pour qu’ils apprennent avant l’adolescence à prendre soin de leur peau, tout comme on leur enseigne depuis des décennies à prendre soin de leurs dents ! C’est à ce moment que nous avons participé à 3 minutes pour convaincre pour pouvoir lever des fonds et développer la proposition produit de TOOFRUIT et sa commercialisation.

Depuis, nous avons réalisé 2 levées de fonds successives afin d’accompagner le développement commercial et l’extension de la gamme qui est maintenant riche d’une vingtaine de produits répondant à l’ensemble des besoins des enfants de plus de 5 ans.

Nous avons aussi pu répondre aux demandes de nos clients qui nous ont réclamé un déo pour les pré-ados en lançant notre produit star : Mon Premier Déo, un déodorant sans alcool ni sels d’aluminium, parfait pour éliminer les premières odeurs désagréables survenant déjà juste avant l’adolescence.

TOOFRUIT est maintenant distribué dans plus de 500 points de vente, en particulier en institut où il est le leader des produits pour enfants et dans plus de 10 pays.

Communiqué de presse du 21 mars

15 entreprises innovantes, sélectionnées par un jury d’experts

au micro de Stéphane Soumier, à la rentrée 2016.

 

Appel à candidatures ouvert aux entrepreneurs jusqu’au 15 juin 2016

sur www.3minutespourconvaincre.com

 

Paris, le 21 mars 2016. Positive Entreprise et BFM Business annoncent le lancement de la 7e édition de l’opération « 3 minutes pour convaincre », qui mettra sous les projecteurs de la matinale « Good Morning Business », présentée par Stéphane Soumier, 15 entreprises sélectionnées par un comité d’experts indépendant, à partir de septembre 2016. Les candidats ont jusqu’au 15 juin pour déposer en ligne leur dossier sur 3minutespourconvaincre.com

Une tribune unique pour des entreprises en plein développement.

 

7e édition de “3 minutes pour convaincre”

7e édition de  “3 minutes pour convaincre” (Positive entreprise / BFM Business)

Pour la sixième année consécutive, Positive Entreprise donne la parole à l’entreprise sur BFM Business. 15 entrepreneurs, dont le projet aura été sélectionné par un comité d’experts, auront “3 minutes pour convaincre” à l’antenne de BFM Business, en septembre 2016, dans l’émission Good Morning Business de Stéphane Soumier. (Date limite de dépôt : 15 juin 2016)

Communiqué de presse du 28 septembre

15 start-ups lauréates de l’édition 2015 de « 3 minutes pour convaincre »

Les 15 entrepreneurs devront convaincre les auditeurs de Stéphane Soumier, dans la matinale économique « Good Morning Business » de BFM Business, du 28 septembre au 16 octobre à 8h15

 

Paris, le 28 septembre 2015Positive entreprise et BFM Business mettent à nouveau sous les projecteurs de « Good Morning Business », présenté par Stéphane Soumier, 15 entreprises sélectionnées par un comité d’experts pour leur approche disruptive et leur ambition de changer le monde. Les entrepreneurs ont rendez-vous avec les
auditeurs de la matinale économique la plus célèbre de France, tous les matins à 8h15, du 28 septembre au 16 octobre prochains.

15 start-ups et l’ambition de conquérir le monde…

Télécharger le communiqué de presse complet.

Communiqué de presse du 1er juin 2015

Positive entreprise et BFM Business annoncent le lancement de la 6e édition de l’opération « 3 minutes pour convaincre », qui mettra 15 entrepreneurs sous les projecteurs de la matinale économique « Good morning business » de Stéphane Soumier, à la rentrée 2015. Les candidats ont jusqu’au 21 juin pour déposer en ligne leur dossier sur 3minutespourconvaincre.com

Télécharger le Communiqué de presse complet.

15 nouveaux lauréats pour son édition 2014

« 3 minutes pour convaincre » consacre 15 nouveaux lauréats pour son édition 2014

Présentation des 15 start-ups tous les matins à 7h45 sur BFM Business, du 29 septembre au 17 octobre, avec Stéphane Soumier
Positive entrepriseet BFM Business annoncent la sélection des 15 lauréats de l’édition 2014 de l’opération « 3 minutes pour convaincre ».

Pour la cinquième année consécutive, Positive Entreprise mettra sous les projecteurs de BFM Business 15 projets naissants et innovants dans tous les domaines d’activité. 15 entrepreneurs, dont le projet a été sélectionné par un comité d’experts, auront « 3 minutes pour convaincre » Stéphane Soumier et les auditeurs de Good Morning Business, tous les matins à 7h45, du lundi 29 septembre au vendredi 17 octobre prochain.

15 lauréats, 15 projets innovants, 15 start-ups pleines d’avenir

Télécharger le Communiqué de presse complet.

Communiqué de presse du 12 mai 2014

5e édition de  « 3 minutes pour convaincre » (Positive Entreprise / BFM Business)

Plus que 3 semaines pour soumettre les dossiers (date limite de dépôt: 31 Mai 2014)

Pour la cinquième année consécutive, Positive Entreprise donne la parole à l’entreprise sur BFM Business.  15 entrepreneurs, dont le projet aura été sélectionné par un comité d’experts, auront « 3 minutes pour convaincre »  à l’antenne de
BFM Business, en septembre 2014, dans l’émission Good Morning Business de Stéphane Soumier.

Télécharger le Communiqué de presse complet.

Communiqué de presse du 10 mars 2014

Lancement de la 5e édition de « 3 minutes pour convaincre ».

Pour la cinquième année consécutive, Positive Entreprise donne la parole à l’entreprise sur BFM Business. 15 entrepreneurs, dont le projet aura été sélectionné par un comité d’experts, auront « 3 minutes pour convaincre » à l’antenne de BFM Business, en septembre 2014, dans l’émission Good Morning Business de Stéphane Soumier.

Télécharger le Communiqué de presse complet.

Loi TEPA, crowdfunding, capital-risque : de réelles opportunités pour le financement des petites et moyennes entreprises

Les entrepreneurs ont de quoi retrouver l’espoir de faire croître leur activité en dehors du  « love money » (la famille, les amis), qui était devenu la source de financement quasi exclusive des sociétés en amorçage avant l’intervention de la loi dite TEPA (travail, emploi, pouvoir d’achat).

En 2007, des incitatifs fiscaux ont été proposés aux investisseurs, particuliers, désirant souscrire au capital de petites et moyennes entreprises (PME). Les textes ont beaucoup évolué depuis, le législateur ayant eu à cœur de protéger la PME et éviter que les avantages fiscaux ne se limitent à une défiscalisation sans risque.

Il a notamment été prévu que les souscriptions au capital des PME ne s’accompagnent d’aucune contrepartie ou avantage, de quelque nature que ce soit, pour le souscripteur (notamment la garantie de retrouver sa mise au terme du délai de conservation de 5 ans requis par la loi).

Aujourd’hui, en résumé, un particulier peut bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu de 18% et une réduction d’ISF de 50% (dans certaines limites et sous certaines conditions), qu’il investisse en direct, ou par l’intermédiaire d’un FCPI ou d’un FIP. Ce dispositif a permis de relancer le capital-risque, mais s’avérait insuffisant, en particulier pour les entreprises qui n’avaient pas les moyens de sefaire connaître largement en dehors de leur réseau personnel.

 

Exposition médiatique cruciale

L’exposition médiatique est cruciale pour ces start-ups, pour faciliter leurs levées de fonds, mais également pour faire connaître leurs produits et services etdécrocher leurs premiers clients. C’est dans ce cadre que certaines initiatives, comme l’opération « 3 minutes pour convaincre », portée à l’antenne par BFM Business et Stéphane Soumier, s’étaient développées.

Les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding) se sont multipliées, d’abord dans le cadre de projets culturels, avec la possibilité pour les internautes de faire des dons pour permettre aux projets de se réaliser, sans contrepartie « spéculative » mais avec une « reconnaissance » spécifique le nom au générique, de invitations aux avants premières etc.).

Ces initiatives ont suscité un engouement sans précédent, et ont montré une réelle volonté de personnes – avec un peu de moyens – de participer à une aventure entrepreneuriale. Jusqu’alors assez « confidentiel » et finalement d’une certaine manière désintéressé, de nombreuses actions ont été menées pourdévelopper ce mode de financement.

Fleur Pellerin a annoncé, vendredi 14 février, une des mesures qui devraientpermettre le développement du financement participatif, aujourd’hui limité par des contraintes réglementaires lourdes (capital minimum, rédaction de prospectus lourds et inadaptés pour des start-ups, sanctions pénales au titre du démarchage financier (sollicitation de non professionnels pour investir dans des entreprises qui ne font pas offre au public).

Les discussions ne portent pas tant sur les plateformes proposant des dons, mais sur les plateformes proposant des prêts d’une part et celles proposant des investissements en capital d’autre part. Les internautes,  particuliers, pourraientprêter jusque 1000 euros par projet. Il a été annoncé qu’il n’y aurait pas de seuil pour les investissements en capital (alors même qu’aux Etats-Unis ces investissements sont limités à 5000 dollars soit 3634 euros, ou 10% des revenus du contribuable).  Les PME pourraient lever jusqu’à 1 million d’euros par ces biais.

 

Statut particulier

Il est proposé enfin à ces plateformes de bénéficier d’un statut particulier : Conseil en investissement participatif (CIP) sans minimum de fonds propres, mais avec un certain nombre d’exigences au regard de l’information communiquée aux internautes, sur les sociétés qui leur sont « présentées » et sur le risque qu’ils prennent.

La nature de ces exigences, la confirmation de l’absence de seuil pour les investissements ne capital, la responsabilité des plateformes sont autant de questions qui restent à ce jour ouvertes et qui seront déterminantes quant au développement du crowdfunding en capital.

Les projets de textes doivent être publiés très prochainement.

Parallèlement, et sous réserve de l’avis de la Commission européenne, s’ouvrira la possibilité pour les entreprises de déduire leur investissement  dans les PME innovantes, dans les conditions prévues par la loi de Finances rectificative pour 2013.

 

D’autres avantages

Les sociétés soumises à l’IS qui investissent, directement ou par l’intermédiaire d’un fonds ou d’une société d’investissement (FCPR ou FCPI ou SCR), dans des PME innovantes pourront amortir leur investissement sur 5 ans sous certaines conditions (notamment, la participation ne pourra excéder 20% du capital ou des droits de vote). Rappelons que jusqu’alors, les participations ne peuvent êtredépréciées que par le biais d’une provision, non déductible fiscalement.

On s’écarte ici de la dimension « affective » de l’investissement mais la mesure présente d’autres avantages pour les entreprises, comme dynamiser leur image d’entreprise citoyenne : nous sommes précisément dans l’esprit du « pacte de responsabilité » – et créer des partenariats avec des sociétés innovantes, en participant à leur développement.

Nombreux sont les grands groupes qui se sont lancés dans cette voie. Cet incitatif fiscal va permettre de donner un élan supplémentaire.

Espérons que la prochaine fois, ce sera le président américain qui rendra visite à nos pôles de compétitivité…

 

Isabelle Vendeville (avocate associée, Virgile Avocats)